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La préciosité du corps humain, partie 8/8

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Si vous voulez savoir, l’un des préceptes, l’une des règles, de la vie de moine bouddhiste est de vous demander si vous êtes ou non, par exemple, homosexuel. Car si vous l’êtes, vous ne pouvez pas rejoindre cet ordre des moines à l’époque du Bouddha et sous Sa direction. Et aujourd’hui, dans les temps modernes, c’est toujours pareil. Ce précepte est toujours en vigueur. Ce n’est pas parce que le Bouddha faisait de la discrimination, mais la situation n’est pas pratique. Si un homme, comme un homosexuel, couche avec d’autres moines qui sont des hommes normaux, réels, il peut y avoir des problèmes. C’est tout ce qu’il en est. [...]

Vous voyez, dans le bouddhisme, la condition de moine est plus claire, la route est très claire et les règles sont très pratiques. Ce n’est pas seulement parce que lorsque vous êtes avec les moines et les nonnes, vous ne devriez pas être d’un sexe différent, mais parce que supposons que vous êtes déjà devenu un moine, accepté et respecté, et que lorsque vous sortez prêcher, vous pourriez avoir à vous mêler à d’autres personnes et aux fidèles laïcs, aux enfants, par exemple. Et les gens doivent savoir que vous êtes un homme ou une femme, sinon, cela pourrait entraîner des problèmes, comme dans d’autres communautés religieuses. Vous le savez très bien aujourd’hui. Cela représente des centaines de milliers de victimes, dont la plupart sont des enfants.

Le Bouddha était donc déjà très sage à Son époque. Lorsque ces problèmes n’étaient pas ouvertement connus, ouvertement reconnus ou ouvertement survenus, le Bouddha était déjà au courant. Il était donc un Chef très sage et un Maître spirituel vraiment protecteur de tous les êtres, et Il n’a même pas permis aux nonnes de rester avec la communauté des moines.

À l’origine, Bouddha ne voulait accepter aucune femme dans Sa communauté de moines, mais comme la première dame à avoir demandé à devenir nonne dans Sa communauté était Sa mère, je veux dire Sa belle-mère, Son principal assistant, Ananda, a un peu plaidé sa cause auprès du Bouddha. Le Bouddha a donc dû l’accepter, mais à une condition : elle ne pouvait pas rester là avec les moines. Elle devait vivre à un autre endroit. De plus, si elle voyait des moines, elle devait s’incliner, se prosterner devant eux, pour qu’elle ne se fasse pas de fausses idées.

Non pas parce que le Bouddha méprisait les femmes. Non, non. Une fois, lorsqu’Il a vu un énorme tas d’os quelque part à l’extérieur, on lui a dit qu’il s’agissait d’un tas d’os de femme, parce qu’une femme doit perdre du sang tous les mois, elle doit accoucher et faire tant de choses pour s’occuper de sa famille. C’est pourquoi, lorsque les femmes meurent, leurs os sont noirs, contrairement à ceux des hommes, qui sont blancs. Et le Bouddha pleurait très, très fort.

Le Bouddha a donc de la compassion pour tous les êtres : hommes, femmes et animaux-personnes également, car Il a aidé des animaux-personnes à Son époque. L’histoire est longue, alors c’est suffisant de vous dire que le Bouddha avait également de la compassion pour les animaux-personnes, tout comme le Seigneur Jésus lorsqu’Il a raconté la parabole du sauvetage d’un mouton-personne. Vous pouvez rechercher cela et le lire vous-même, si vous le souhaitez. Le Prophète Mahomet, que la paix soit sur Lui, a également réprimandé l’un de Ses disciples pour ne pas s’être occupé des chameaux-personnes à l’époque où Il voyageait dans le désert.

Ainsi, tous les Maîtres, les vrais, ont le Pouvoir de Dieu en Eux ; Ils sont si humbles qu’Ils s’occupent même des animaux-personnes, alors que tous les autres les considèrent comme de simples objets qu’ils peuvent tuer et manger à tout moment. Les Maîtres ne traitent jamais les êtres de cette façon. Vous le savez donc déjà. Être végan, c’est donc suivre les pas des Maîtres – les Maîtres que vous révérez tant, que vous vénérez tant, que vous priez tant, que vous aimez tant. Suivez Leurs pas. C’est tout ce que vous avez à faire. Soyez bons, compatissants, miséricordieux, aimants et bienveillants envers toutes les espèces.

Vous voyez, dans le bouddhisme, pour devenir moine ou nonne, vous devez vraiment connaître les 250 préceptes, c’est-à-dire 250 disciplines, si vous voulez être moine ou nonne. Vérifiez donc si vous le pouvez avant de poser votre candidature. Il est bon d’avoir des moines et des nonnes dans tout type de confession religieuse ou de communauté, mais vous devez vraiment être un exemple de noblesse et de pureté. Si vous pensez ne pas pouvoir l’être, restez simplement chez vous. Faites votre devoir, aidez la communauté qui vous entoure, aidez les animaux-personnes, aidez le monde de toutes les manières possibles. C’est aussi un très bon pratiquant. Tout le monde n’est pas apte à être moine.

Et si vous êtes déjà moine et que vous vous rendez compte que vous ne convenez pas à cette communauté en raison de votre identité sexuelle, par exemple – c’est important, votre genre – vous n’avez qu’à demander la permission de partir et de vivre comme des gens normaux. Il suffit de s’ouvrir, de sortir. Vous n’avez pas à cacher votre identité sexuelle. Il n’y a pas de quoi avoir honte. Tout le monde naît différent. C’est votre stade d’évolution qui fait que vous devenez un homme ou une femme normal, je veux dire général, ou un homme différent ou une femme différente.

Il existe de nombreuses catégories de sexe, pas seulement B-sexuel ou G-sexuel, mais aussi A-sexuel et toutes les autres. J’ai appris récemment qu’il n’y a pas que deux ou trois types. Ne vous inquiétez donc pas ; c’est votre stade d’évolution. Acceptez-le, mais continuez à pratiquer afin d’atteindre le plus haut degré d’illumination possible dans cette vie, pour vous, pour vos familles, pour votre clan et pour le monde. Je vous souhaite le meilleur, qui que vous soyez. Je vous aime tous. Que Dieu vous bénisse !

Très bien. Tous mes amours, tous les bien-aimés de Dieu, tous les êtres chéris de tous les Bouddhas, c’est-à-dire les Saints et les Sages. Mon Dieu. Je dois même le traduire du sanskrit à l’anglais pour que vous sachiez de Qui je parle. Sinon, les chrétiens et les musulmans penseront que je ne suis pas des leurs si je ne mentionne que les Bouddhas. Et tous les bouddhistes penseront que je suis anti-bouddhiste si je ne mentionne que les Saints et les Sages ou les Maîtres. S’il vous plaît, sachez qu’Ils sont tous pareils. C’est juste une langue différente.

« Bouddha » signifie l’Éveillé, l’Ancien, c’est-à-dire Celui Qui est digne de vous enseigner. Bouddha a dix titres de toutes façon, et l’un d’entre eux est « l’Éveillé », ou « l’Honoré du monde ». Bien sûr, un Maître Qui est totalement illuminé est également un Être Honoré du monde – il en est ainsi. Les Maîtres, les Bouddhas ont la même dénotation, la même révérence. Les Bodhisattvas sont des Saints et des Sages. C’est la même chose – même sens, juste une prononciation différente dans la langue. « Bouddha » est un nom sanskrit qui désigne un Maître complètement illuminé. « Bodhisattvas » désigne les Saints et les Sages éclairés qui n’ont pas encore complètement atteint l’État de Bouddhéité – presque. J’espère que c’est clair pour vous. Les Saints et les Sages ont presque atteint l’état de Maître, ou sont presque retournés dans la Maison du Maître ou dans les Cieux Supérieurs. Ils sont alors également appelés Bodhisattvas.

J’espère que vous vous souviendrez toujours des Bodhisattvas, des Bouddhas, des Saints, des Sages, des Maîtres et de Dieu Tout-Puissant dans votre cœur, à tout moment. Chaque fois que vous pouvez vous en souvenir, rappelez-vous d’eux, afin d’être protégé. Souvenez-vous de Dieu Tout-Puissant. Sinon, souvenez-vous de vos Bouddhas préférés ou des Saints, Sages ou Maîtres que vous vénérez – Ceux qui sont plus proches de notre siècle, pas Ceux qui sont partis au Ciel il y a trop longtemps, parce qu’Ils n’ont peut-être plus beaucoup de Pouvoir ou d’énergie liés à notre monde. Souvenez-vous de tout cela.

Et puissent Dieu Tout-Puissant et tous les Saints, Sages, Bodhisattvas, Maîtres et Bouddhas se souvenir de votre situation difficile, de votre souffrance en ce monde et vous aider, vous protéger, vous bénir, vous ramener à votre Maison méritée et glorieuse, votre Demeure originelle. Amen.

S’il vous plaît, aimez-Les tous comme Ils vous aiment. Au moins, vous essayez. Bien sûr, nous ne pourrons jamais aimer Dieu Tout-Puissant, les Bouddhas, les Bodhisattvas, les Saints, les Sages et les Maîtres autant qu’Ils nous aiment – mais nous le ferons en temps voulu, lorsque nous aurons atteint Leur statut. Essayez maintenant, priez, essayez d’aimer. Souvenez-vous d’Eux avec douceur, avec amour, avec le désir de Les connaître, de vous connaître vous-même – un jour, vous y arriverez. Et n’oubliez pas de vous aimer les uns les autres et d’aimer les autres êtres autant que vous aimez vos fils, vos filles et vous-même. Vous comprenez ce que je veux dire. Les animaux-personnes, les arbres, les plantes, les pierres, même le sable sur la plage. Un jour, vous le saurez.

Et vous savez que je vous dis toujours la vérité. À quoi bon vous dire des mensonges ? Même en vous disant la vérité, vous ne me croirez peut-être pas. À quoi bon vous dire des mensonges ? Votre âme saura de toute façon ce qu’est la vérité et ce qu’est un mensonge, et je serai punie en enfer si je vous dis des mensonges et si je vous trompe pour mon propre gain égoïste ou à des fins mondaines. Dieu le sait.

Alors, à bientôt. Si tout va bien, vous aurez de mes des nouvelles dans une semaine environ à compter d’aujourd’hui. Sinon, prenez bien soin de vous. Souvenez-vous de Dieu ; souvenez-vous de tous les Bouddhas Maîtres et Bodhisattvas. Priez, d’accord ?

Je vous aime. Je vous aime tous, disciples ou non-disciples. Que Dieu et tous les Bouddhas, Boddhisattvas, Maîtres, Saints et Sages, vous bénissent abondamment. Amen.

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